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« Ville exquise, pure, délicieuse, illustre, cité bénie, plantureuse et animée » ainsi s’exprimait Abderhaman Sädi en 1630 en célébrant la ville de Tombouctou.

Tombouctou la cité mystérieuse. Le nom de Tombouctou est connu dans le monde entier. Le français René Caillé fut le premier explorateur a être entré dans la ville, mais surtout à en être sorti vivant «  revenu de mon enthousiasme, je trouvai que le spectacle que j’avais sous les yeux ne correspondait pas à mon attente, je m’étais fait de la grandeur et de la richesse de cette ville , une toute autre attente, elle n’offre, au premier aspect, qu’un amas de maisons en terre mal construites, dans toutes les directions on ne voit que des plaines immenses de sable mouvant, d’un rouge pâle, tout est triste dans la nature. Cependant il y a je ne sais quoi d’imposant à voir une si grande ville élevée au milieu des sables . »

Il est vrai que la grandeur et le mythe de Tombouctou sont désormais révolus, mais Tombouctou demeure une des plus belles villes du continent africain, bâtie en plein désert et le mystère de Tombouctou subsiste sans que l’on sache en quoi il consiste..

On y accéda à pied ou à dos de chameau, comme le firent les voyageurs célèbres parmi lesquels le Tangérois Ibn Battûta, Léon l’Africain, plus prês de nous le major britannique Laing et le Français René Caillé. Depuis les moyens ont évolué et si les caravanes affluent toujours de Mauritanie, d’Algérie et du Niger, un aérodrome accueille aujourd’hui les touristes. L’accès est plus difficile par la voie terrestre depuis Bamako à 1071 km au sud via Ségou et Mopti les pistes impraticables à la saison des pluies ne conviennent autrement qu’aux automobilistes que ne rebutent pas les cahots. Par contre en période de crue les pinasses relient Tombouctou à presque toutes les villes du pays.

Tombouctou

Points d’intérêt

La mosquée Djindareiber, construite en 1325 le style d’origine a été respecté. Dépouillé, robuste, couvert de terrasses en banco dont émerge la forme d’abord pyramidale puis conique d’un minaret hérissé de pieux servant à l’entretien des murs, le monument trône au sud-ouest de la ville, environné de bâtiments de la même veine. Massifs à la base les murs d’effilent vers le haut, soutenus par des renflements ou des piliers faisant corps avec l’édifice et l’entourant. Peu d’ouvertures sur les façades, presque pas de fenêtres, sauf aux étages mais en revanche de lourdes portes décorées d’énormes clous.

La mosquée Sidi Yahiya la mieux entretenue de la ville.

La mosquée de Sankoré au nord que fit bâtir dans la première moitié du Xve siècle une vieille femme de Tombouctou.

Les maisons des explorateurs, René Caillé, Gordon Laing et Heinrich Barth.

Maison Essayouti, demeure traditionnelle de la ville. Tombouctou possède de belles demeures de style architectural soudanais et marocain.

 

   
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